Grand, super carré, tatoué : avec sa gueule de mâle inimitable et son air de bourrin, Jeff Stronger pue la testostérone. Et alors qu'il arrive tout habillé de leather, c'est la grande chaleur. Méga hot, le bogosse viril adore la sensation du cuir sur lui et il sent que sa bite gonfle dans sa combi. Obligé, il se met à l'aise, vire les fringues et sort le gros morceau de viande plein de jus pour le branler comme il faut. On lui a laissé un fleshjack pour qu'il s'amuse si besoin et clairement le besoin de se vider les couilles est trop fort : Jeff enfourne comme une bête le sextoy et tape dedans comme un affamé du cul. Son gland tremble de plaisir et laisse s'échapper de bons jets chauds de semence.
Il a voulu la jouer hard, il va se faire ramoner les trous comme la dernière des chiennasses. Un grand mâle butch attend, attaché sur une roue, d'être pris en main par le jeune bogosse gay Will Helm. Le master arrive et s'amuse à faire tourner la roue, se faisant pomper sa grosse teub en fond de gorge par son soumis qui a la tête à l'envers. Après un bon travail des tétons, il relâche la salope formatée pour continuer son exploitation : de la suce, des gestes fermes, un bouffage de cul bien baveux et une putain d'enculade en mode vénère. La lope peut grogner autant qu'elle veut, elle a pas fini de s'en prendre. Et quand viendra l'heure de la délivrance, ce sera pour se faire recouvrir la face au jus.
Enorme kiff pour ce passif viril et musclé : il se retrouve pris en sandwich par deux domis hard. L'un a le visage recouvert de cuir, l'autre un masque de dog. Allongé, à dispo, le passif devient soumis et se laisse palper par les mains qui jouent avec tout son corps. Instrumentalisé, il met son cerveau sur "off", savoure l'ivresse d'être totalement sous contrôle. On le pince, on lui lèche le cul, on le fait sucer du gros dard en fond de gorge, on l'encule à fond en mode bourrin. La bouche couine et continue de se faire boucher à la teub, le cul tremble de plaisir en se faisant exploser. Puis vient l'extase finale : les deux gros zobs se branlent et vont recouvrir la lope de jus. Un régal.
A 40 ans, avec des années de vol, on ne se raconte plus d'histoires. Pas besoin de tourner autour du pot, de faire son timide : on sait qui on est, ce qu'on kiffe et on y va ! Ces deux mecs ne se mentent plus à eux-mêmes depuis longtemps. Ils sont gays, ils aiment le cuir, en portent à la première occasion et aiment quand la baise est hard. Parés de leurs meilleures pièces, ils se lancent dans un plan sans tabou, viril, libre. Quand on aime pomper de la grosse bite, on prend tout en fond de gorge et on se fait baver la gueule pour montrer comme c'est bon. Quand on aime les culs, on les lèche longtemps jusqu'à complètement les ouvrir. Les places sont pas figées : on s'encule à tour de rôle, avec la même ardeur, en grognant et en criant qu'on en veut encore. Et forcément, on crache tout ce qu'on a parce qu'on a trop kiffé !
Il est pas beau avec son harnais et sa gueule de bonne petite lope ? Voilà un pur soumis qui a tout à fait conscience qu'il est né pour se prendre de la teub au kilomètre et vider tous les mâles dominants qui se présenteront sur son passage. Aujourd'hui, un master canon va s'occuper de ses trous qui ont clairement besoin d'être rassasié à la pine. Les doigts du boss dans la bouche pour commencer, histoire de bien le faire sentir chienne puis de la pipe en gorge profonde pour bien faire ressortir les pulsions de salope. C'est bon : le tarba est plus qu'un soumis à exploiter qui se fait élargir le cul avec un spéculum, broutter et déboiter. Alors qu'il est en transe, il attend sa récompense : la semence du maitre, le fluide de mâle dont il est dépendant.
