Ca sent bon la sueur, le latex et le cuir dans cet entrepôt où l'on retrouve le bel Aymeric De Ville enfermé dans une cage, offert à dispo des trois mâles musclés et ultra-excités qui approchent en le reluquant. Pour baiser de leur proie, pas besoin de la libérer, c'est à travers les barreaux que les trois bogosses caressent ses muscles bandés et son cul ferme, doigtent son trou humide et lui remplissent bien la gueule avec leurs queues raides. Quand la porte de la cage s'ouvrira enfin, ça sera pour passer aux choses sérieuses...